Belgique - juillet 2008
note : mon pc portable sur lequel j'avais retravaillé pas mal de photos, ainsi que déposé celles furtives faite avec mon téléphone, était HS et parti au SAV, j'ai donc mis un sacré temps à publier tout ça.
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Le récit d'une semaine entre amis !
RAPPEL : Clic sur les photos pour les agrandir, si besoin !
BRUGES
Arrivés la veille au soir dans la proche banlieue de Mons, nous voila directement en route du lendemain matin pour la belle ville de Bruges. On trouve un parking rapidement, proche de la gare, pour seulement 2.5 € les 24 heures.
Déjà là on apprécie de ne pas être explosé comme en France où pour ce délais là tu lâches bien un exorbitant et honteux 15 euros.
Le colossal et bondé espace 2 roues de la gare :
A l'emplacement de l'actuel Beffroi de Bruges (en néerlandais : "Belfort van Brugge") se trouvait à l'origine une première construction surmontée d'une tour en bois érigée en 1240. La construction abritait les halles aux laines et aux draps et des entrepôts. La tour avait une fonction plus administrative et servait à l'époque aux magistrats de la ville. Elle comportait une salle de coffres ainsi que les archives de la ville.
Un incendie détruisit la tour en 1280, ce qui entraîna la destruction des archives d'avant 1280. Un hôtel de ville fut construit en un autre endroit (sur le "Burg") où la plupart des fonctions administratives déménagèrent. La tour fut reconstruite en 1296 avec deux soubassements carrés et la flèche de la tour en bois.
Les halles de la ville se sont étendues au cours du XVe siècle et de 1483 à 1487 on construisit la partie supérieure octogonale en pierre blanche, flanquée de quatre tourelles, toujours surmontée d'une flèche en bois sur laquelle figurait une statue de Saint Michel.
Un incendie provoqué par la foudre détruisit à nouveau la partie supérieure, ainsi que les cloches de la ville en 1493. Lors de la réparation on construisit une flèche en bois ornée de lions grimpants.
Une galerie fut ajoutée à l'arrière des halles au cours du XVIe siècle. La cour intérieure reçut également quelques galeries au premier étage.
En 1741 un incendie détruisit une nouvelle fois la flèche de la tour. Celle-ci fut réparée en 1753. La tour reçut sa forme actuelle de couronne néogothique en 1822 à la place d'une flèche.
Le Beffroi de Bruges, d'une hauteur de 83 m, est légèrement incliné vers la gauche (d'1,19 m) depuis plus de quatre siècles. Il est visitable. Pour parvenir au sommet il faut monter 366 marches. Le carillon comporte 47 cloches. http://fr.wikipedia.org/wiki/Beffroi_de_Bruges
La grand place et une des nombreuses calèches qui circulent en ville :
(d'après le net, 30 mn de calèches = 34 €)
Continuons la visite en images :
S'en vient l'heure de casser la croute, on opte pour un petit bistrot en bord de canal
Le Café Bistro Terrastje
(avis de Béatrice ci dessus)
Un endroit sympa, rien à redire hormis qu'il faut venir ici pour un petit creux et pas une grosse dalle.
Estomacs réapprovisionnés, on se rend au Musée de la Dentelle:
(entrée 2.5€, compter 30 mn de visite):
Juste à droite en entrant, on découvre une salle où sont réunis des dentelières (et surement aussi avec dentiers :oD) qui avec une vitesse étonnante composent sur fond de techno hardcore , des assemblages de napperons en dentelles. Impressionnante dextérité !
Dans l'église adjacente, un autel un peu étrange :
On enchaîne ensuite avec
une balade en bateau dans les canaux:
(avis de Béatrice si dessus)
Comme l'écrit Béa, le tour en bateau c'est reposant et mignon, mais c'est un peu expéditif, le guide balance ces infos à la fronde en plusieurs langue et on a à peine le temps de tout saisir et voir qu'on passe déjà à autre chose. J'ai même remiser mon APN un long moment car je voulais tout de même regarder les choses de mes yeux plutot qu'au travers du viseur comme un con de touriste mitrailleur, le temps de passage étant compté devant tout les monuments, et on ne s'arrête que rarement, souvent pour laisser passer un bateau qui vient d'en face de plus, pas pour savourer l'instant présent ! Pas que c'était un hors bord mais bon regarder à droite à gauche à une vitesse de croisière raisonnable, ça oblige à choisir entre photographier ou apprécier de visu. Le tour coute 6.5€ et dure une petite demi heure.
Les stars du tour en barque :
Pied à terre et on continue vers le Béguinage
Alors à Bruges, y a des vierges à tout les coins de rue, et c'est rien de le dire !
Sur les bords du canal, une artiste mime assez extraordinaire, comme planant dans l'air, la fée s'éveille lorsque l'on jette une pièce, puis nous tend une brindille pour que l'on fasse un vœux.
L'imposant "Machin-Chose" de Bruges
Un beau texte croisé dans une église :
(clic dessus pour l'agrandir)
Nous voila arrivé au Béguinage :
(trois bénédictines de pas sage)
Fin de la journée Brugeoise. Une ville charmante et riche en monuments. Pour la soirée, c'est prévu un resto " Moules " :
Le Bon Accueil, à Spiennes Belgique
(pour l'originalité du nom, on repassera)
Un resto simple ou tout est mis sur la bouffe, ici on vient pour manger des frites et des moules, sans chichi, c'est pas l'endroit ou faire une demande en mariage, mais c'est plutôt le lieu pour se régaler et se remplir la panse comme un goinfre affamé.
La carte des spécialités de moules est énoOorme, elle fait bien trois pages. Ça donne au restaurant une image de roi de la moule et de spécialiste. En même temps comme le dit mon père, Docteur en Moule, au final ça n'est que de l'assaisonnement, les moules ne sont pas cuisinées et marinées avec l'accompagnement commandé, ça ne prend pas le fumé lors de la cuisson, c'est donc un peu facile de multiplier les arrangements quand il suffit de claquer part dessus l'accommodation demandé.
Pour ma part j'avais commandé un truc du genre Jericho... Navajo je sais plus (!), qui n'était pas dispo, je me suis alors rabattu sur une sauce à l'échalote.
Je me suis bien régalé, mais finalement rien de mieux que de la moule marinière pour moi, à la longue ca me dégoute un peu de manger les doigts dégoulinant.
Bilan, très bon petit resto, vous pouvez y aller, compter 20 à 30 euros de budget.
Inutile de prévoir une entrée ou un dessert, d'autant que les frites sont bien entendu à volonté. A noter qu'en Belgique tu n'as pas le pichet d'eau d'offert.
Ma pitance :
La critique de Béa sur le resto.
BRUXELLES
Il pleut et nous prenons la route de Bruxelles et de son Atomium.
Exposé dans le hall, une ancienne petite voiture, une "Hetta" de BMW :
Nous montons dans les Atomes :
L'exposition ne m'a pas vraiment intéressé, il s'agissait d'un rétrospective de l'ouverture et de son histoire. Bof, j'ai regardé ça d'un œil discret, ça n'avait rien de transcendant.
Des photos d'architectures sympa à faire :
L'ascenseur catapulteur :
Ensuite en hauteur un beau panorama de Bruxelles :
A gauche Europark, les monuments phares européen en miniature et à droite le stade du Roi Baudouin (anciennement du Heysel)
Bruxelles...
(ça fout les boules !)
Fin de la visite et c'est l'heure de manger, direction l'friterie !
Et à côté, un menaçant gros corbeau fritovore :
Alors lui est là en éclaireur, une fois qu'une frite est lancée, tu découvres l'armée planquée dans l'arbre qui fond sur la proie. Et après, ben tu continues de manger, mais avec un stress Hitchcokien.
LE PAVILLON CHINOIS, Bruxelles
Un bel endroit nappé d'un charme tout autant décuplé par le fait que nous étions quasiment seul à le visiter, un luxe certain pour baigner dans l'ambiance de façon optimal, dans un silence zénifiant et avec l'impression de visiter l'histoire comme un voyageur temporel dans un monde abandonné et figé.
Les extérieurs :
(superbe !)
Voila pour les quelques extraits en images de ce que l'on peut trouver dans ce musée.Un art délicat bien mis en valeurs.
BRUXELLES
Direction la grand place de Bruxelles ou l'on retrouve Anne et Laurence.
(huuuummmm !)
Le mythique pisseur :
Man, I can't piss !
Les enseignes de luxes et produits de gastronomie locale :
(pas très Belge mais sûrement succulent)
Ah ben bravo, tu as l'air con :
(la personne qui a piqué le G est priée de le garder rapporter)
Et ici, les barbus ont 20 % de ristourne sur l'addition :
LA CATHÉDRALE SAINTE GUDULE, BRUXELLES
Monument phare de la capitale Belge, là où ont lieu les cérémonies royale.
Quelques membres de la fine équipe :
A noté que le sous sol est visitable, mais que c'est un attrape touriste un peu douteux quand même de la part du clergé local, dans le fait qu'il n'y a quasiment rien à voir et que l'on présente à l'entrée de l'escalier un tronc où il est demandé de verser une obole pour accéder à l'endroit (mais on ne s'en rend compte qu'après, forcement.)
Une autre fine équipe :
Ensuite, du soir, un petit resto dans les rues piétonnes de Bruxelles :
Et en repartant, une belle photo de l'Atomium illuminé :
Le rendez vous des animaux de tout poils-plumes-peaux dans ce parc renommé de Belgique. (entrée 20 euros)
On démarre en douceur dans le classique fermier avec les biquettes, qui rendent gaga comme à chaque fois Zam et Kapu :
Tiens ça me rappel quelqu'un :
Alors lui l'ébouriffé, il a tapé dans l'œil à Kapu...trouvons lui un petit nom :
" Gustave "
Et les 3 petits cochons nwar :
(on dirait qu'il y en a un qui joue aussi au caillou, comme Sally)
Un Bambinou :
Des sangliers mutants :
On rentre dans le domaine des vautours :
(pov' pouchin!)
(timide ?)
(les pattes dans l'eau)
Le Patron :
On quitte ces menaçants tas de plumes pour continuer la visite...
(chébô !)
Un chtite mémère à plumes qui dort sur une patte :
Mais qui ne dormait que d'un œil !
Et là on a pépère (on dirait qu'il a mis son peignoir et qu'il est nase) :
Là, nous avons le jardinier qui dort au volant et un couple de Kangourous qui fuit (mais non, en bas ! IoI ) :
Une belle descente de marches :
Ensuite on passe dans l'espace réservé aux bêtes un peu glauques, dont des chauves souris (pas de photos) serpents (Zam ferme les yeux) et autres diableries :
Alors là Messieurs les Princes charmants, je déconseille d'embrasser ces grenouilles empoisonnées, sous peine de mort :
(Je n'ai pas poussé plus loin les photos, pas la peine d'effrayer les petites natures qui viendront sur ce blog)
On repart sur les chemins, avec un kangourou à l'affut du jardinier dormeur sur ta tondeuse:
Puis là on va perdre quelques degrés :
Lui ne stresse pas :
Et elle, elle mange n'importe quoi !
Finalement : Plouf !
S'en suit ce beau Paon, que l'on croisera un peu partout :
Nous voila arrivé au spectacle des oiseaux, dans le même esprit que celui du Puy du fou, mais nettement moins magique. Celui du Puy du Fou est vraiment un must.
Une série :
Et là, il craque, nous fait la danse de la chêvrepoule :
Qui qu'y a pété ??? :
Voila, la sortie des artistes :
On reprends la route, et croisons la famille Coink :
Nous voila arrivé chez les fripouilles :
(un peu grand lui pour toujours squatter le dos de maman, non ?)
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Passage sur un petit pont, avec des mendiants aquatiques bien nourri :
Sûrement suite à un dessin animé que je n'identifie plus, ce triste oiseau me fait penser à un vieux juge :
(Tiens, j'ai un bouton sur le bec...)
(elle l'aime son bout de bois)
(une fesse à pincer ?)
La fontaine au totem :
Revoila sa majesté :
Dans l'aquarium :
(Boooh !)
(ça ne ne respire pas l'intelligence ça)
La pause fleurie :
Avant d'aller dans la serre :
(à travers le grillage)
Quelle dégaine destroy ces suricates ! :
La ballade s'achève dans ce sympathique parc, qui vaut bien le détour, ça n'est pas un zoo d'envergure mondiale, mais c'est largement valable pour passer une bonne et pleine journée parmi les animaux et les plantes et déconnecter un peu de la l'ambiance ubaine ou du boulot. Et à la vue des travaux en cours, il ne pourra qu'augmenter en qualité.
Sur le chemin du retour, je n'ai pu manquer de prendre en photo ce panneau de la petite commune de Bauffe faisant partie de l'homonyme belge de la ville française de Lens. Incroyable insulte clin d'œil involontaire aux supporters du Racing Club de Lens, qui les traite de beaufs, avec en plus les couleurs sang et or !
Visite d'une mine de charbon (coucou pépé) transformée en musée où une tragédie à eu lieu le 8 août 1956.
262 mineurs y sont morts.
Dans le hall d'entrée, quelques plaquettes d'époque :
En plus de la mine et donc du musée du charbon, on y trouvera aussi des thèmes concernant diverses industries, comme la métallurgie et le verre et croiserons diverses grosses machines d'époques.
(toujours au téléphone ces femmes...)
Bon, je donne l'explication avant de me faire lyncher :
ESCOL - Châtelet (Charleroi) 1926-1929
Les Ets ESCOL furent fondés avant la guerre 1914 par Jules ESCOL, ingénieur des Mines de l'université de LOUVAIN, et ôtaient spécialisés dans la construction de treuils de mines. Passionnés par la moto, les deux fils aînés, Félix et Maurice ESCOL réalisèrent en 1923 un prototype qui ne fut jamais commercialisé vu son prix trop élevé.
En 1926, ils décidèrent de construire des voitures en faisant le montage de pièces achetées à l'extérieur (châssis de l'usine du PAQUIS et moteur FIVET), les carrosseries étant produites chez ESCOL.Quelques exemplaires à moteur FIVET 1 500 cc participèrent à certaines épreuves sportives.
En 1927, ils équipement leurs voitures du moteur CHAPUIS-DORNIER, plus moderne, et de freins sur les quatre roues. Quelques exemplaires furent vendus en châssis ou en torpédogrand sport.
ESCOL abandonna la construction automobile des 1929. La firme entamera en 1933, la construction de motos fort originales qui eurent assez de succès jusqu'en 1940, puis l'usine en revint à la fabrication de matériel de charbonnage.
http://www.rvccb.be/PAGES/CONSTRUCTEURS%20LISTE/constructeurs%20E.html#escol
Mécanique sociale :
La partie Verrerie :
Et à l'intérieur...et ça on se demande ce que ça fout ici :
Ca serait peut être les signes d'une civilisation extra-terrestre...
Dont le vaisseau c'est craché ici (on voit les restes):
Et là, ils ont caché et disséqué les corps :
L'entrée d'une base secrète ? :
LE MARIAGE DE LAURENCE & BRUNO
La semaine se termine... Ici Béa prend des forces pour le lendemain :
Pendant que nous allons préparer la salle :
En revenant, une photo de
ce coupe gorgecet endroit pour chambrer ma sœur :En rentrant, on découvre que Béa s'est changée en chat :
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Bon, nous y voila :
La mariée, son père et la demoiselle d'honneur
Ceux sont.....Les mariés !
Étant témoin du marié, je n'ai bien entendu par fait de photos dans la mairie, puis une fois signé, nous arrivons à la salle, qui porte de belles armoiries :
Et la ringardissime et kitch salle d'à côté :
Hop ! Direction la beuverie ou le pétillant n'a pas fait long feu :
KapuCroZam
BeaCroZam
- ! Smouaks ! -
Puis la soirée commence :
Un slow passe...
Découvrez Ghinzu!
Je suis contrains sous le menace de boire de la Blanche :
(c'est vraiment pas du brutal d'ailleurs)
Puis, mon verre à la main, je continue d'explorer le jardin...
Les photos venant par après me rassurer sur ce que j'avais souvenir d'avoir vu... Non ce n'était donc pas les effets de la bière !
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La soirée se termine, et au retour, Béa se transforme à nouveau et s'installe dans son lit :
moi dans ma suite royale et Kapu & Zam dans leur igloo.
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Le lendemain, ça sera le retour pour moi sur Lille, avec une visite des lieux pour le couvent :
(Le métro Lillois, automatisé)
et un repas dans un bon petit resto super interessant en qualité prix :
LE GRIZZLI, Lille
- THE END -
Ah non, je finirais avec une photo de chiotte !A savoir le beau travail de Laurence, qui a réuni en cadres ses photos préférés de celles que j'envoie parfois, et a ainsi donné un charme original à ce lieu qui n'en a pas vraiment, généralement.